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Devenez le Moteur du Bien-Être au Travail : Transformez Votre Rôle pour un Impact Positif!

Devenez le Moteur du Bien-Être au Travail :                    Transformez Votre Rôle pour un Impact Positif!

Devenez le Moteur du Bien-Être au Travail : Transformez Votre Rôle pour un Impact Positif!

FORMATION, MANAGER DIFFÉREMMENT, MOBILSATION, PLAISIR BONHEUR TRAVAIL

Dans le monde professionnel actuel, le bien-être des employés est devenu un élément essentiel de la réussite et de la performance d'une organisation.

En tant que collaborateur ou leader, vous avez le pouvoir de devenir le moteur du bien-être au travail et d'insuffler une culture d'entreprise positive.

Comment pouvez-vous transformer votre rôle pour avoir un impact positif sur le bien-être de votre équipe ?

5 façons d'améliorer votre communication d'équipe

5 façons d'améliorer votre communication d'équipe

Selon le petit Robert, communiquer signifie « être en relation ». La communication se compose de deux facettes distinctes :

1) La transmission: transmettre de l’information, au moyen de la parole, entre autres.

2) La réception : recevoir l’information, entre autres, en écoutant.

Échange entre plusieurs dirigeants d'entreprises québécoises et françaises autoorganisées (entreprise libérée)

Échange entre plusieurs dirigeants d'entreprises québécoises et françaises autoorganisées (entreprise libérée)

Découvrez :

  • Pourquoi ils ont décidé de transformer leur entreprise?

  • Comment ont-ils commencé, annoncé cela dans leur organisation?

  • Quelles ont été les étapes les plus difficiles ou imprévues?

Les impacts de la crise sanitaire sur nos modes de management!

Dans les deux prochaines années, nos entreprises seront radicalement différentes!

En janvier dernier, si je vous avais annoncé que 80% des entreprises fermeraient pendant plusieurs semaines et qu’une grande partie de la population mondiale serait confinée chez elle, vous auriez pensé IMPOSSIBLE! Alors, ouvrez-vous à la lecture qui va suivre et vous pouvez aussi penser que c’est RIDICULE, DANGEREUX, mais je vous assure que cela devient ÉVIDENT pour un grand nombre d’entreprises au niveau mondial!

Patrimoine-RH #toutestpossibleensemble

La transformation des entreprises vient de prendre un grand coup d’accélération à cause ou grâce au Covid-19!

Selon Luc Bretones, CEO de Purpose for Good, organisateur de The NextGen Enterprise Summit et président de l'Institut G9 +

L'entreprise aura fait sa révolution copernicienne dans 10 ans!

Disparition du lien de subordination, autonomisation des équipes, consécration de la raison d’être.

L'actuelle crise sanitaire aura-t-elle un impact durable en matière de management?

L'épisode du confinement, quoique contraint et douloureux, a permis la plus grande expérience mondiale de travail à distance de tous les temps. Les entreprises qui qualifiaient les réseaux sociaux d'entreprise et autres t'chats, vidéoconférences et outils SaaS au pire de gadgets et au mieux de plateformes du futur, ont finalement trouvé le temps, dans l'urgence, de s'y mettre. Celles qui qualifiaient le télétravail de néfaste ou le pensaient impossible ont compris ses potentialités - productivité, gain de temps -, mais aussi ses limites dans la durée, comme l'éloignement social. Dans un cas comme dans l'autre, ces nouvelles aptitudes sont les signaux du futur du management, plus collaboratif, transparent, responsabilisant et engageant.

La direction d'entreprise et le management de demain vont-ils fondamentalement changer?

En 2030, les personnes qui regarderont la façon dont nous manageons aujourd'hui nous prendront pour des hommes de Cro-Magnon du management. La manière de manager n'aura alors plus rien à voir avec celle que nous pratiquons. Nous le voyons déjà dans toutes les organisations qui préfigurent l'entreprise nouvelle génération comme la banque russe Tochka, l'assurance brésilienne Youse, la fédération de psychiatres et de psychologues néerlandaise Mentaal Beter, la plateforme Holaspirit, le cabinet français Octo Technology ou encore, à l'échelle de projets, dans  les groupes Michelin et Decathlon. L'écart entre ces entreprises et les entreprises traditionnelles se creuse en ce moment même à vitesse grand V, et cette dynamique va connaître une accélération impressionnante dans les années à venir.

Qu'est-ce qui va radicalement changer ?

Le lien de subordination entre personnes nous semblera archaïque. Aujourd'hui, le management se fonde sur une relation de pouvoir, liée à la possession de l'information. Or Internet sape ce pouvoir à la base en rendant l'information accessible à tous. La relation de subordination va donc céder sa place à une hiérarchie plus plate, avec des équipes qui travailleront ensemble car elles auront des redevabilités entre elles. Le manager trouvera sa plus-value dans sa capacité à donner à chaque membre de son équipe la possibilité de s'exprimer non pas à 30 ou 40 % de ses capacités, comme c'est le cas actuellement, mais à 70 ou 80 %, afin de doper l'initiative et l'innovation.

Pour rendre un maximum de personnes responsables de leur périmètre d'action et leur permettre de réaliser la plupart de leurs tâches en autonomie, la gouvernance devra être adaptée et une agilité systémique mise en place à l'échelle de toute l'entreprise. Plutôt que de se lancer dans des réorganisations obsolètes dès leur adoption, les sociétés s'adapteront en permanence avec des équipes plus humaines et plus petites, dans la lignée de la méthodologie Scrum. L'entreprise en 2030 fonctionnera alors selon trois principes : la décentralisation de l'autorité, la transparence et la confiance ainsi que la responsabilisation des équipes. Ce n'est plus la relation de pouvoir, mais la raison d'être qui guidera et motivera le collectif, cette volonté d'avoir un impact positif au-delà du résultat net.

Ce modèle est-il vraiment adaptable à toutes les entreprises ? Les managers ne vont-ils pas freiner des quatre fers?

Ils n'auront pas le choix ! Les organisations qui ne s'adapteront pas disparaîtront violemment à cause d'un manque d'agilité et d'attractivité aux yeux des salariés, des clients et des parties prenantes. D'ailleurs, l'entreprise de 2030 ne sera plus circonscrite à ses seuls salariés, réduits dans certains cas à la portion congrue. Elle fera appel à des talents extérieurs pour répondre à ses besoins. Dans ce contexte, l'organisation sera, avant tout, identifiable à sa raison d'être, qui deviendra l'un des seuls éléments pérennes dans le temps. En fonction de celle-ci, elle définira un cadre contractuel avec ses parties prenantes pour la réalisation de telle ou telle mission, encouragée par les actes d'achat des consommateurs.

Pour aller plus loin, on peut même imaginer une évolution assez forte en matière capitalistique. Afin de doper l'engagement de toutes leurs forces vives, certaines entreprises pourraient commencer à adopter une forme intermédiaire, à mi-chemin entre la coopérative et la société anonyme classique. Cela favoriserait la construction d'un projet dans la durée, profitable à toutes les parties prenantes, des actionnaires aux salariés, en passant par les clients promoteurs, les représentants ou encore les fournisseurs. Sans une conversion vers ces formes moins spéculatives, avec un impact positif sur l'environnement et un partage du capital qui motivera beaucoup de personnes et redonnera du sens à leur travail, les grands groupes s'exposent à une mise au ban progressive

Depuis plus de cinq ans Patrimoine-RH accompagne les entreprises Québécoises et Françaises dans ce type de transformation qui pour certains peut paraître ridicule voir dangereux mais qui demain deviendra évident!

Source : Les Échos.fr

Innovation en matière de gestion et management RH

UNE ORGANISATION SANS PATRON!

Il est courant d'entendre qu'une "Entreprise libérée" est une organisation sans patron. Mais, est-ce réellement le cas? En fait, il y aura toujours un patron dans une entreprise à but lucratif, car le propriétaire ou les actionnaires resteront toujours maîtres de leurs organisations. Ce mode de gestion fait en sorte que les postes de cadres/gestionnaires actuels se transforment vers des rôles de leaders naturels soutenus par leurs équipes et non plus imposés par une direction.

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Le rôle traditionnel

La question qu'on se pose c'est "Pourquoi un chef voudrait perdre son poste?". Pour le savoir, il faut tout d'abord comprendre qu'elle est la raison d'être d'un gestionnaire. Si on revient au principe de base qui est enseigné dans les universités, un gestionnaire à pour fonction d'utiliser les ressources humaines, matérielles et financières d'une entreprise pour atteindre les objectifs. Pour ce faire, il réalise le processus de gestion et de prise de décision qui si définit par l'acronyme "P.O.D.C.", qui signifie "Planifier, Organiser, Diriger et Contrôler."

Les conséquences

Cela à pour conséquences que l'atteinte des objectifs d'un département repose presque en totalité sur les épaules d'une seule personne. Devenir le maître de toutes les décisions et être isolés au travail peut engendrer un énorme stress tel que le mentionne une nouvelle étude du cabinet-conseil en ressources humaines Morneau Shepell qui indique que:

  • 34%, soit 1 gestionnaire sur 3 qualifient d'élevé à extrême leur niveau de stress lié au travail

  • 20% des managers souffrants d'hyper stress se disent enclins à donner leur démission en raison de leur souffrance quotidienne

  • 73% des cadres affirment se sentir très isolés au travail et être plus susceptibles que les autres de vivre un niveau élevé de stress.

Le nouveau rôle

Il est peut-être temps de diminuer le stress des gestionnaires, de les motiver et de briser l'isolement en redistribuant le processus de gestion et de prise de décision à l'équipe de travail. Cette nouvelle forme de gestion permettra aux membres d'une équipe de se responsabiliser davantage et d'identifier les angles morts qu'une seule personne n'est pas en mesure de percevoir. Ainsi, la planification, l'organisation, la direction et le contrôle deviendront la responsabilité de tous les membres de l'équipe. Afin de ne pas créer l'anarchie au bout de quelques minutes, il est essentiel de distribuer convenablement les responsabilités selon les champs de compétences en plus de bien faire circuler l'information afin et de s'assurer que "Responsabilité de tous" ne rime pas avec "Personne n'est responsable". Comme l'énonce un proverbe populaire "Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin".

Pour en connaître davantage, assistez à la conférence qui aura lieu le 10 septembre 2019 à St-Georges dès 8h30 et qui sera donnée en collaboration avec Mme Anne-Marie Lessard de L'Essor Humain, Mme Nancy Cameron de Cameron RH et M. Philippe Zinser de Patrimoine-RH. Pour inscription, consultez www.lessorhumain.com.

 Article paru dans la revue "'Action Beauce"

Développement PME (DPME), en route vers une organisation libérée !

Performance et bien-être au travail, quel est le secret de réussite de DPME ?

Nous cherchons tous le bonheur. Et puisque, nous passons une grande partie de notre temps au travail, pourquoi ne pas être plus heureux au travail ?

Chez DPME, les décisions sont, désormais, prises en petits groupes et cela fonctionne !

L’entreprise est en croissance et les collaborateurs se disent plus heureux.  Cette absence de hiérarchie favorise leur autonomie et leur responsabilisation, mais aussi, leur implication dans les missions de l’entreprise. Ils ont fait le choix d’un mode de gestion appelé « Entreprise libérée » ou « Travail auto-organisé » où chacun devient acteur.

Qui est DPME ?

Développement PME (DPME) est une organisation sans but lucratif qui contribue à l’essor économique de la région de la Chaudière-Appalaches. Leur mandat est d’offrir des services personnalisés, à un coût accessible, afin de sensibiliser et d’accompagner les entreprises manufacturières dans l’implantation de meilleures pratiques d’affaires.

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Plaisir et travail vont-ils de paire ?

Selon l’étude GALLUP au niveau mondial, le pourcentage de salariés engagés, c'est-à-dire se levant le matin heureux d’aller travailler, est de 11%. Les salariés désengagés c’est-à-dire venant chercher leur salaire sans prendre d’initiatives, représentent 61%. Enfin, les désengagés, sont tellement malheureux qu’ils viennent au travail chaque jour pour démontrer leur malheur et saboter le travail ou le moral des autres.

Il faut garder à l’esprit que la première raison qui nous pousse à travailler est celle de gagner de l’argent pour répondre à nos besoins primaires, mais aussi pour créer du lien social.

Un salarié heureux est 33% plus productif et 55% plus créatif
— Source Gallup

Le plaisir au travail reste encore secondaire dans de nombreuses cultures et le Québec n’y fait pas exception. Pourtant, il est prouvé qu’un salarié heureux est 33% plus productif et 55% plus créatif. La performance et le plaisir s’autoalimentent. A contrario, la productivité d’un salarié malheureux serait 10 % inférieure à la moyenne. Et on sait, aujourd’hui, que moins d’un salarié sur deux admet se sentir bien dans son travail.

Comment sortir de ce cercle vicieux ? Existe-t-il une recette magique qui permettrait d’instaurer un cercle vertueux entre performance et plaisir?

Selon une enquête réalisée par Deloitte en 2016 au Canada, 77% des répondants de tous les niveaux estiment que la capacité de leur organisation à offrir des programmes de leadership adapté à la génération Y est faible.

Il faut s’éloigner des structures hiérarchiques et traditionnelles qui confient le leadership à un nombre de personnes relativement restreint.

L’importance de l’environnement de travail

Le premier réflexe est de considérer que pour rendre les salariés plus heureux, il convient d’augmenter leur salaire. C’est bien connu, même s’il y contribue, l’argent ne fait pas le bonheur. Une augmentation de salaire ne suffit pas à rendre heureux, ni à fidéliser un collaborateur. L’effet est limité dans le temps et n’a d’effet qu’à court terme.

Des entreprises choisissent plutôt d’améliorer l’environnement de travail. Si les cafétérias, baby-foot, tables de ping-pong ou salles de sport sont certes appréciés, encore faut-il que cela soit le souhait des collaborateurs et non celui d’une direction ou d’un service RH, juste pour être dans la tendance. D’autres entreprises tablent sur la nomination d’un Chief Happiness Officer (CHO) en charge de veiller au bonheur de chacun en entreprise.

Faire le choix d’un management humain

Comme le disait Gandhi, on ne peut pas changer le monde sans commencer par se changer soi-même. Mais cette remise en cause n’est pas si évidente puisqu’elle relève en grande partie de nos émotions et de notre égo qu’il faut savoir mettre de côté.

Bien sûr, instaurer le concept de l’entreprise libérée n’a pas été si simple à mettre en place chez DPME. Dans certains cas, des messages ont pu être difficiles à entendre et à accepter ! Nous sommes tous formatés depuis notre entrée dans le monde du travail à avoir un supérieur qui nous dit quoi faire et comment le faire. Il faut donc se déprogrammer, se questionner et redonner du sens à ce que l’on fait chaque jour! Mais la confiance, la persévérance et la bienveillance de Daniel Voyer et de Roselyne Guillemette est la clé du succès de la transformation actuelle de leur organisation. Ils ont fait le choix d’un management humain où les collaborateurs sont au cœur du développement de l’entreprise. Nous avons tous des responsabilités et des compétences différentes. L’accepter permet de souligner l’importance de la collaboration et l’intelligence collective, et d’en tirer tous les bénéfices, notamment pour mieux desservir nos « VRAIS PATRONS », nos clients.

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Après seulement quelques mois, voici quelques commentaires partagés par les collaborateurs de DPME :

Dans mon travail quotidien, je suis plus autonome, on me fait plus confiance dans les domaines pour lesquels je suis pleinement compétente. J’ai besoin de faire moins faire valider, vérifier, approuver, mon travail. On s’organise en équipe pour distribuer le travail.
Belle marque de confiance de l’organisation de nous donner plus de marge de manœuvre dans certaines décisions. Cela accélère aussi certains dossiers le fait de travailler en équipe et prendre des décisions
Les avantages dont tout le monde bénéficie (collaborateur, organisation et nos clients) :
- La possibilité de prendre des décisions plus rapidement (décisions qui sont par exemple déjà budgété ou dont nous savons qu’elle fait du sens pour l’organisation)
- Réduire des suivis ou rencontre avec notre directeur attitré. Si j’ai un suivi important à faire, la direction va le savoir de toute façon
- Moins avoir l’impression de surveillance de la part de la direction
- Mais surtout, une écoute vraiment plus grande de la part de la direction
Dans le quotidien, on ressent une plus grande liberté d’agir, être créatif et prendre des décisions. On sait que nous sommes tous responsable de la pérennité de l’entreprise et la communication se fait naturellement.
L’équipe échange davantage via le système de communication Google, texto et mail que face à face, mais l’option vidéo est toujours disponible. La gestion du temps est optimisé dû aux déplacements qui sont réduit.
Le mode Agile apporte une qualité de vie optimale car la gestion du temps et des tâches est entre les mains des employés; les pertes de temps sont minces et permet de réaliser nos tâches efficacement tout en jonglant avec les autres priorités de la vie. Gérer ses propres horaires selon des paramètres de tâches claires et souples, la balance Vie-Travail-Loisir s’en retrouve bonifiée.
Le mode agile nous donne la possibilité d’élargir nos compétences à travers toute l’équipe.
Cela nous permet aussi d’avoir une autonomie complète dans notre travail et même de prendre de l’initiative dans certains projets de l’équipe. Implication plus présente avec les autres membres de l’équipe
Depuis que notre équipe est passée en mode Agile, cela me permet d’être encore plus autonome et de participer à l’élaboration de certains projets. Le mode Agile est sans contredit une des meilleures façons d’être polyvalente au sein d’équipe de travail.
Beaucoup plus d’autonomie, plus de pouvoir décisionnel dans ses dossiers, plus de liberté dans son travail. Ça apporte aussi plus de proximité avec la direction.
Le mode agile a permis d’éliminer des procédures administratives et d’être plus centré sur l’action. Ce mode agile m’a permis d’apporter ma créativité et d’avoir plus d’initiative. La communication avec la direction a été améliorée puisqu’il y a moins d’intermédiaire. Il reste encore du travail pour assurer une harmonie dans la communication d’équipe en raison des différences dans les styles de communication et les expériences passées. Le mode agile permet par contre de mieux se rapprocher de nos collègues pour la gestion des mandats et surtout les prises de décisions, puisque nous sommes moins dans un mode de contrôle et de jugement, mais plus dans un mode de travail participatif.
Le travail d’équipe revêt une grande importance pour moi et depuis que le mode agile fût instauré chez-nous, je sens une nouvelle dynamique très positive au sein de notre équipe. Ce modèle m’aide à mieux performer car nous avons l’option de prendre des décisions en équipe et de se partager des tâches et choisir celles que nous aimons faire, et ce, dans le but d’atteindre le même objectif. Ensemble on va toujours plus loin!

Ces témoignages vous ont-ils inspirés ? 

Le bonheur au travail n’est pas si loin, mais faut-il encore avoir le courage d’y croire et d’agir!
— Les Happy-Culteur RH

Nous remercions l’équipe DPME pour la confiance qu’ils nous accordent et leur souhait de devenir une organisation inspirante.

Sabine Pouillion – Philippe Zinser, Les Happy-Culteurs RH

Connaissez-vous le VUCA, OODA ? Prendre la décision au plus proche de l’action!

Incroyable, l’auto-organisation, le concept de l’entreprise libérée, ou la prise de décision au plus proche de l’action appliqués aussi dans l’armée américaine et russe! 

La fameuse réplique « Chef, oui, chef », si populaire dans l’armée américaine et surtout très connue grâce au film Full Métal Jacket, avec R. Lee Ermey, dans le rôle du sergent Hartman, pourrait-elle être remise en cause?

Le concept de l’entreprise libérée serait-il aussi possible dans l’armée?

L’armée américaine utilise l’acronyme VUCA, signifiant : Volatile, Uncertain, Complex et Ambiguous (volatile, incertain, complexe et ambigu).

Le VUCA décrit un monde sujet au changement, revirement, imprévu avec des conséquences inconnues et des interconnexions changeantes, complexes et totalement imprévisibles.

Dans ce contexte, il faut savoir s’adapter rapidement à son environnement et prendre les meilleures décisions au meilleur moment! Alors qui mieux que les personnes qui sont sur le terrain, savent quelles options choisir?

Le stratège militaire John R. Boy à élaboré une théorie directement applicable dans un environnement en mutation rapide de manière à mieux saisir la réalité de façon précise et efficace! Pour cela, il est persuadé qu’il faut sans cesse procéder à des interactions avec les personnes concernées et avec l’environnement concerné afin d’en évaluer les perpétuels changements.

C’est de ce constat qu’il s’est posé cette question : « comment élaborer des concepts mentaux qui nous aideront à prendre des décisions? »

L’OODA venait de naitre (OODA pour Observer, s’Orienter, Décider et Agir).

Observer

Collecter les informations au travers des sens (visuel, auditif, tactile, olfactif, goût), et auprès des bonnes personnes. Sous ce terme sont réunies des circonstances en développement de l'action en cours, des informations extérieures et les influences du terrain sur l'action.

S'orienter

Cette étape consiste à analyser et faire la synthèse des données disponibles en une "carte du territoire" cohérente. Tout l'héritage de celui ou ceux qui décident joue à fond ici. Cet héritage est génétique, culturel, les analyses et les informations antérieures ainsi que les expériences déjà vécues. Cela fait beaucoup d'éléments qui interagissent tous les uns sur les autres. Si plusieurs personnes doivent décider, elles n'auront pas les mêmes bases. Le blocage en devient quasiment naturel. Le leader ou porteur du ballon prend son rôle.

Décider

Ce qui est à noter ici, c'est que la décision est considérée comme une hypothèse "Choix". Cette hypothèse est qu'une action est meilleure que les autres possibilités. Cette hypothèse est aussi que cette action va donner de bons résultats. Cette hypothèse est que cette action est complètement réalisable. Il est clairement admis ici que ce n'est qu'une hypothèse et qu'elle va être testée. Le droit à l’erreur, mais pas l’inaction!

Agir

Nous passons à l'exécution avec une action rapide et décisive. C'est-à-dire, tester l'hypothèse faite précédemment. Mise en route, la décision va s'écarter immanquablement de son modèle. C'est le test de la réalité. Ce qui va se passer va ramener celui qui décide à la lettre O, pour observer et s’adapter.

La boucle est bouclée.

Autre exemple concret dans l’armée russe.

Le général Alexandre Vasilyevich Souvorov croyait en ces trois principes en 1719:

Bustrata qui signifie en russe « Célérité » et qui privilégie une action rapide.

Glazomer qui signifie « estimation d’un coup d’œil », pour prendre des décisions rapides au plus proche de l’action afin de désorienter l’opposition.

Natisk qui signifie « Ruée », pour agir en force et prendre l’avantage sur la concurrence.

La métaction prend, ici tout son sens dans ces deux exemples. . Dans beaucoup de situations la réflexion trop poussée devient un frein au développement. Gardons en mémoire que « trop d’analyse, paralyse! »

La métaction, c’est l’action qui entraîne la réflexion et l’amélioration!

 

Charles Darwin disait :

Ce ne sont pas les espèces les plus fortes qui survivent, ni les plus intelligentes, mais celles qui réagissent le mieux au changement!
— Charles Darwin

L’entreprise libérée commence-t-elle à faire du sens pour vous?

La conférence « Chef, écoutez-moi! » bouleverse les croyances et paradigmes de gestion au Québec!

Merci à tous les participants qui ont assisté à notre conférence « Chef, écoutez-moi! ».

Que ce soit à Lévis, Montréal ou Longueuil, nous avons fait de belles rencontres et nous avons eu de beaux échanges avec nos participants.

Quel plaisir de rencontrer des dirigeants d’entreprise, des professionnels RH et des gestionnaires qui croient, comme nous, qu’un climat de confiance et de liberté d'action favorise les initiatives des employés et dope leur réalisation de soi. Résultats : plus d'engagement et de plaisir au travail pour ces salariés. Et, cerise sur le gâteau, c'est un excellent levier de développement durable pour l’entreprise qui bénéficie d'une meilleure performance économique globale.

Si l’entreprise libérée est un état d’esprit, il n’existe ni modèle, ni méthode. Elle invite les organisations, selon leur contexte humain et culturel, à adapter une philosophie fondée sur la conviction que l’homme est digne de confiance. Si le leader est visionnaire et porte certaines croyances, toute entreprise peut le faire.
— Isaac Getz

Quelques commentaires de nos participants :

C’est vraiment super de voir qu’autre chose fonctionne bien comme style de gestion.
— Frédéric, Airvector
Si vous souhaitez faire évoluer votre organisation en mettant fin aux paradigmes de micro-gestion qui vous rend si impopulaires et d’enfin faire totalement confiance à vos collaborateurs, assistez à cette conférence, et vous pourriez, dès lors, surélever votre organisation à un autre niveau, si vous le voulez bien, bien sûr!
— Erik Roby, Réseau Sélection
Il faut participer!
— Delia Buga, Evasion
Ça fait cheminer!
— Francis Boisvert, Service D'Élagage Boisvert Inc
Il s’agit d’une conférence rafraîchissante qui donne le goût d’innover au sein de nos organisations.
— Stéphanie Bouthillier, SOQUIJ
C’est exactement la motivation qu’on recherche!
— Pierre
Le ton de la conférence n’est pas moralisateur.
— Chantal Carrier, Centre communautaire de loisirs de Sherbrooke

Saviez-vous que...

Le bonheur est la seule richesse qui se décuple quand on la partage? Alors, créez de la valeur en augmentant la richesse de votre entreprise!

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Vos employés sont riches de ressources